Veste workwear Mihara moutarde en canevas japonais

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Un mithril de coton japonais kuroki100% coton
Un mithril de coton japonais kuroki

Le mithril, c'est ce métal que Frodon Saquet porte comme un sous-pull et qui lui évite d'être transpercé par la lance d'un troll. Oui, c'est dans le Seigneur des Anneaux. Et ok, PEUT-ÊTRE que c'est fictif…

Notre canevas de coton est bien réel, lui. Il est tissé si serré que ça en fait une matière extrêmement résistante.

Pour les plus techniques, elle fait 447g/m², ce qui fait 13,07oz, une armure comme on dit. À votre avis, pourquoi utilise-t-on encore le canevas pour les vêtements des travailleurs du bâtiment par exemple ?

Eh oui. Autant dire que dans votre quotidien, avec cette veste, vous êtes paré à toute éventualité et surtout, pour des années à venir.

Tisseur
Un mithril de coton japonais kuroki
Kuroki
Kuroki, tisseur japonais

Kuroki, tisseur japonais

Située à Ibara, dans la préfecture d'Okayama, au Sud-Ouest du Japon, c'est l'une des rares entreprises dont toute la production est intégrée. 

Elle possède trois usines, chacune spécialisée dans une étape du processus de fabrication (teinture, tissage, finition). 

Kuroki contribue à réduire l'impact écologique de l'industrie du jean à travers : l'installation de panneaux solaires photovoltaïques pour produire sa propre énergie solaire, et la purification totale des eaux usées. 

Nos produits avec les Ateliers Kuroki
Un mithril de coton japonais kuroki
Comme un jean : plus vous la portez plus elle vous appartient

Le prix à payer pour avoir un vêtement robuste et durable, c'est un peu de rigidité. Comme la première fois qu'on met un jean japonais ou des derbys cousus GoodYear.

La récompense, c'est qu'elle va s'assouplir, on vous le garantit. Plus vous allez la porter, plus elle sera vôtre. Et on sait très bien que ces vêtements-là sont ceux auxquels on porte le plus grand attachement et dont on se séparerait pour rien au monde.

Il moutarde de vous montrer sa patine... (pardon)

C'est un moutarde oui. Ou un camel avec une pointe de jaune. Mais pas tout plat !

Si vous regardez bien, il est légèrement blanchi par endroit, comme si on avait commencé la patine rien que pour vous.

Cette couleur qu'on visait, on l'a obtenue grâce à une technique qu'on appelle le "garment dyed" : la veste entière est teinte puis lavée de manière à obtenir ce rendu précis et pas un autre.

Elle ira avec des bleus, du marine au ciel, des gris, du bordeaux, des écrus, beiges et marron. Bref, un champ des possibles exponentiel.

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