Lanecardate

C’est l’histoire d’une famille passionnée par le commerce de laine qui a fondé son entreprise en 1663 à Biella, en Italie. 

Pourquoi Biella, vous dîtes ?

Voilà ce qu’on aime voir : de la curiosité ! En fait, l’eau de cette région montagneuse fait le plus grand bien à la laine des drapiers qui s’y sont installés. Elle la rend douce, mais le fameux secret n’est pas là. 

Il se cache plutôt dans l’attention et la rigueur portées à CHAQUE ETAPE de confection. C’est comme ça qu’on fait la différence : on ne néglige aucun détail, du mouton à la bobine de fil. Et il s’en passe des choses entre les deux !

Le problème, c’est que pour bichonner la laine dans toutes ces étapes, il faut pouvoir les maîtriser. Mieux : les faire soi-même.

C’est la solution de Lanecardate. D’abord, elle achète sa laine brute et non lavée auprès de ses partenaires en Australie et Nouvelle Zélande. Ça passe par tout un process de sélection, avec des normes de finesse (pour la douceur) et de longueur (pour la durabilité).

Ensuite, l’entreprise lave, peigne, carde, teint et file tout elle-même en Italie. Tout ça, sous le contrôle méticuleux de son laboratoire qualité.

On appelle ça l’intégration verticale.