Revue des marques #2 : workwear anglais, matières japonaises et style italien

11 min

Revue des marques #2 : workwear anglais, matières japonaises et style italien

11 min
Publié le : 25 février 2017Mis à jour le : 14 avril 2017

Il y a quelques semaines, Rafik, Benoît, Nicoló et Alexandre inauguraient la « Revue des Marques ».

Pour vous remettre dans le bain, je vous rappelle le concept : défricher la jungle des marques, vous soumettre des idées, partager avec vous nos trips stylistiques et vous donner toujours plus de conseils.

Disclaimer : Lucas - avec un S, vous l'aurez noté - est la dernière recrue du pôle édito. Pour son premier article, il avait à coeur de vous parler shopping et a donc souhaité s'occuper de la Revue des Marques. La parole est à lui ! 

Cette fois-ci, Euxane, Long et Robin se joignent donc à moi pour y parvenir.

Vous l’avez compris, d'autres membres de l'équipe prendront le relais la prochaine fois pour que vous ayez un panel d’inspirations aussi vaste que possible.

On est partis pour ce deuxième round…

Sommaire de la Revue des marques

    • Euxane et son penchant pour les vestes workwear
    • Long : influences nippones
    • Robin : l'art du contraste
    • Lucas : la dolce vita
  • Les achats de l'équipe
    • Euxane : des sneakers "back in the 90's"
    • Long : la persévérance récompensée
    • La ceinture tressée de Robin
    • Lucas et la fiabilité National Standard
  • Le grain de folie
      • La couverture ultime selon Euxane
      • Long et sa veste vintage bi-matières
      • Robin : bien dans ses baskets
      • Lucas : dur à cuir(e)

Dans le radar de...

« Love at first sight » n’est pas uniquement un titre de Kylie Minogue...

C’est également ce sentiment qui nous envahit lorsque, au détour d’un portant, on tombe sur LA pièce. Celle qui nous obsèdera dès lors pendant des jours. Celle à laquelle on pensera le soir avant de s’endormir.

Dans cette rubrique, on vous parle de ces pièces dont on est tombés amoureux sans pour autant les avoir achetées.

Euxane et son penchant pour les vestes workwear

Je ne sais pas vraiment d'où ça vient mais j'ai une vraie attirance pour les pièces qui s'inspirent des vêtements de travail, notamment les vestes et surchemises. ?Ça vient peut-être du fait que j'adore travailler, tout simplement ?

Ce qui me plaît dans ce type de pièces, c'est en premier lieu la coupe : elle est souvent droite, carrée et sobre ; il n'y a rien de superflu. La taille présente de l'amplitude, ce sont des vêtements qui se portent plutôt oversized qu'ajustés.

veste denim a kind of guise

Sur cette veste A Kind Of Guise, les lignes sont droites et le design épuré. Le denim se patine légèrement aux endroits sollicités, comme la patte de boutonnage. Je la trouve très cool.

Les grandes poches - pour y ranger des outils à l'époque - sont aussi très caractéristiques du style workwear. C'est un détail que j'aime beaucoup car, outre le côté fonctionnel, ça apporte du graphisme à la pièce.

Autre point important : les matières. On retrouve beaucoup de denim, tissu emblématique de ce style... mais pas que ! Il existe aussi beaucoup de vestes en velours côtelé et ce sont de loin mes préférées.

Elles ont un côté plus original que les vestes en jean (très courantes) et sont finalement très faciles à porter.

chemise velours seh kelly

On retrouve encore les grandes poches carrées, des lignes droites et une coupe ample.

Par exemple, je verrais très bien cette surchemise S.E.H Kelly portée avec un jean brut et une chemise en flanelle, le tout avec une paire de workboots pour pousser à fond le style workwear.

Mais je l'imagine aussi très bien dans un registre plus élégant : jean blanc, chemise en chambray et derby marron à bout fleuri.

Un dernier mot pour vanter les mérites des surchemises : elles peuvent se porter toute l'année. L'hiver en layering, sous une grosse parka ou un grand manteau ; à la mi-saison et pour les fraîches soirées d'été, on la porte seule sur une chemise ou un tee-shirt.

Bref, selon moi, c'est le genre de pièces dans lesquelles on n'investit pas pour rien.

Long : gilet et influences nippones

J’ai choisi deux pièces de la marque “Studio d’Artisan”, qui est une griffe japonaise dont on a très peu parlé chez BonneGueule.

C’est une marque spécialisée dans le denim et qui travaille avec un seul fournisseur de toile. Cette fidélité lui permet d'en connaître mieux que personne les différentes réactions : délavage, rétrécissement et éventuel élargissement.

Elle a la particularité de vendre ses jeans "unsanforized", c’est-­à-­dire totalement bruts.

La toile n’a pas été trempée ni lavée, ce qui engendre un rétrécissement marqué lors du premier lavage (entre une et deux tailles). Il faut donc en tenir compte lors de l’achat.

Depuis peu, la marque a diversifié son offre en proposant notamment des vestes et des chemises.

Ça fait longtemps que je veux une work jacket, sans jamais trouver celle qui me convenait. Elles étaient soit intégralement en laine, soit en coton avec un tissage et une texture trop lisses.

veste studio dartisan

La work jacket "Studio d'artisan" sur laquelle lorgne Long.

Sur cette veste, on remarque que le tissage est très dense et que le point est très original. On pourrait croire à une toile canvas avec un micro motif très particulier.

L’ensemble est simple et sobre. Malheureusement, les boutons sont en plastique. Dommage pour ce genre de pièces...

J'ai également repéré un gilet qui est, à l’origine, celui que portaient les cheminots des années 1930. Il a été retravaillé pour lui donner une coupe plus contemporaine en rapetissant les poches et en ajustant la coupe.

workwear annees 30 homme

Vous validez la military railroad vest de Long ?

Personnellement, je trouve les rayures verticales très faciles à porter. En layering sur un gilet, ce motif peut vraiment apporter de la profondeur à une tenue.

Je pourrais porter cette veste et ce gilet en les associant avec mon chino bedford Levi's, mon henley RRL et mes chukka boots Sanders.

Robin, bien dans ses baskets

Je m'intéresse de près à Mark McNairy. C’est certainement une des seules marques qui réussissent à me faire baver en termes de souliers (ayant travaillé dans le milieu de la chaussure, je suis devenu difficile à impressionner).

Tout d’abord, un peu d’histoire : Mark McNairy fonde sa marque en 2008, après avoir procédé au rajeunissement de J. Press (marque preppy par excellence fondée en 1902 sur le campus Yale) et de Woolrich Woolen Mills.

Son parcours traduit ce que j’aime chez lui, et que je ne retrouve nulle part ailleurs : le don d'associer avec élégance des couleurs (souvent criardes) et des motifs incongrus sur des souliers formels…

derby mark mcnairy

Le tout reste facile à porter !

Voici donc la paire de chaussures qui est dans mon radar : des loafers MarkMcNairy à semelles jaune canari.

mocassins mark mcnairy

Le coup de foudre de Robin.

Cela fait plusieurs années que je veux et une paire de chaussures à semelles contrastantes, et une paire de mocassins à glands.

Là, je peux faire d’une pierre deux coups... Que demander de plus ?

Lucas : viva la dolce vita

Rouge de colère, bleu de stupeur ou vert de honte... toutes les réactions sont à craindre lorsqu’on aborde le sujet sensible du jean blanc ! Néanmoins, c’est vers cette pièce conflictuelle que se tourne mon regard à l’approche du printemps.

J’ai conscience que l’on reproche souvent à nos amis transalpins l’excentricité de leur style mais il est - à mon sens - très urgent de nous approprier cette pièce incontournable de leur vestiaire.

streetstyle pantalon blanc homme

Pas besoin d'avoir un yacht pour arborer ce pantalon !

J’ai la conviction que le jean blanc gagnerait à être considéré à sa juste valeur : celle d’un article élégant, raffiné et relativement facile à porter. En 2014, Luca nous expliquait d’ailleurs comment arborer cette pièce aussi iconique que polémique.

Dernièrement, j’ai repéré deux perles dont vous ne pourrez plus vous séparer entre avril et septembre.

La première nous vient de chez Naked & Famous, marque que l’on ne présente plus. Il s’agit d’un selvedge blanc WeirdGuy (semi-slim).

Nous sommes face à un jean vintage tissé dans le sens main droite (« Right Hand Twill »), conçu par Brandon Svarc pour la collection printemps-été 2017.

Sa coupe tapered est très bien travaillée et l’alliage coton (98%) et élasthane (2%) offre un confort optimal. Réalisé dans une toile denim de 11oz, il est très léger mais tout à fait fiable et solide.

jean blanc selvedge homme

Le liseré offre une jolie plus-value visuelle.

Les détails et finitions démontrent la qualité du travail : la cinquième poche présente le fameux liseré rouge et les surpiqûres blanches sont très discrètes. Le bas du jeans est assez fitté avec une ouverture allant de 17 à 20 cm en fonction de la taille choisie.

jean blanc selvedge naked and famous

Il faudra débourser 150€ pour faire l’acquisition de ce petit bijou.

Vous pourrez le trouver sur Tate + Tokyo qui distribue la marque.

Plus classique dans le choix de la coupe et des matières, mais tout aussi exigeant sur la qualité du produit, vous pouvez opter pour l’équivalent proposé par De Fursac. Un jean blanc en denim italien fabriqué de l'autre côté des Alpes.

jean blanc de fursac

Le savoir-faire De Fursac au service de l'élégance.

La composition est identique à la pièce précédente avec 98% de coton et 2% d’élasthane. Les surpiqures sont une nouvelle fois ton sur ton mais la coupe est plus droite.

Pour obtenir cette pièce, il faudra compter 185€, en boutique ou sur l'e-shop de la marque.

lookbook ss de fursac

Attention : si vous comptez tomber la veste, prenez garde à ne pas obtenir une tenue trop monochrome.

Les achats de l'équipe

Ici, on vous parle plus spécifiquement des pièces qu'on a acquis dernièrement et de la démarche qui nous a conduit à sortir la carte bleue.

Quel cheminement intellectuel avant l’achat ? Quels sont les critères qui nous ont convaincus ? Comment les portons-nous ? Autant de questions auxquelles nous répondons ci-après.

Euxane : des sneakers "back to the 90's"

J'aime beaucoup la marque Fila pour son côté rétro. Oui, on a tou(te)s le droit à notre part de hype !

Il y a six mois, mon copain s'est acheté la réédition des FX100 low (le modèle vert) et je les trouve vraiment belles. Restant des sneakers basses à dominante blanche, elles vont un peu avec tout : aucune prise de tête n'est nécessaire de ce côté-là.

Il les met très souvent et, pour le moment, rien à redire sur l'usure : elles tiennent la route. Le prix reste très abordable pour des sneakers donc c'est une bonne paire pour les petits budgets.

sneakers fila rouge retro

Bref, je me les suis achetées en rouge.

Long : la persévérance récompensée

Je voulais essayer la marque “Bleu de Paname” depuis longtemps déjà. À chaque fois que j’essayais un de leurs vêtements, la coupe ne m’allait pas du tout alors que j’adorais la pièce.

Un jour, j'enfile ce gilet en chambray légèrement matelassé et je tombe immédiatement sous le charme. J’ai dû le regarder deux ou trois fois avant de me dire “Bon, je l’essaye même si je sais que la coupe ne va pas m’aller”.

gilet workwear homme bleu de paname

Je franchis le pas, essaye la pièce et là... réalise qu’il est parfaitement à ma taille !

Je le porte d'ailleurs à l'heure où j'écris, associé à mon Henley RRL, mon jean gris BG et mes petites sneakers Nike.

Morale de l’histoire : même si la coupe de la plupart des vêtements d’une marque ne vous va pas, continuez d’essayer car la taille dépend d'un grand nombre de facteurs.

La ceinture tressée de Robin

Rien de révolutionnaire de ce côté, je n’ai pas eu de grosses envies shopping ces derniers temps.

J’ai toutefois décidé de régler un problème bête et récurrent depuis quelques années : à chaque fois que j’achète une ceinture, elle finit par avoir mille et un trous parce que je perds et reprends constamment du poids.

En décembre dernier, j’ai jugé que ça ne pouvait plus durer : je m’étais pris une belle ceinture chez Jacques & Déméter et je ne voulais en aucun cas qu’elle subisse le même sort que toutes les autres.

J’ai donc acheté une pièce que je n’aime pas, uniquement pour ne pas détruire ma nouvelle ceinture. La voici :

ceinture tressée homme

Pour la ceinture tressée Billy Belt choisie par Robin, il faudra compter 35€ sur l'e-shop de la marque.

Je n’ai pas voulu investir une grosse somme parce que je ne pensais pas apprécier les ceintures tressées... mais il faut reconnaître qu'il est très pratique de pouvoir l’ajuster sans prise de tête.

Bref, ma ceinture en cuir est préservée et réservée à de belles occasions, tandis que la tressée m’accompagne tous les jours !

Lucas et la fiabilité National Standard

Je ne vous présente plus National Standard, la marque française indépendante possédant l'un des meilleurs rapports qualité/prix sur le marché de la basket.

En apparence similaires aux création de chez Lanvin ou Common Projects (dont les semelles sont d'ailleurs réalisées dans la même usine italienne), les "NS" représentent une belle porte d'entrée vers l'univers des sneakers haut de gamme.

Polyvalentes, elles permettent de tester plusieurs styles sans prendre de risques inconsidérés.

edition 4 national standards sneakers

Ce n'est tout de même pas pour rien que BonneGueule a produit deux collabs avec National Standard.

Dernièrement, j'ai craqué sur ce délicieux modèle d'Édition 4 "low". Au niveau de la confection comme des finitions, la qualité est au rendez-vous. La fabrication artisanale de ces sneakers a lieu au Portugal.

edition 4 national standards sneakers

Tout en sobriété.

Des oeillets ont été ajoutés par rapport aux dernières versions afin d'empêcher que le frottement des lacets ne détériore le cuir. À ce propos, ces derniers sont cirés (détail appréciable pour un rendu intéressant).

L'intégralité de la doublure est en cuir blanc. La semelle extérieure est en caoutchouc Kobé ?Caoutchouc inventé dans la ville du même nom, utilisé dans le bâtiment pour amortir les chocs. , cousu à la main !

edition 4 national standards sneakers

 

Bilan des opérations : 215€ pour un investissement que l'on ne regrette pas.

Le grain de folie

On l’apprend tous tôt ou tard, parfois à ses dépens : « Le coeur a ses raisons que la raison ignore ».

Cet adage s’applique parfaitement à de nombreux domaines, et celui du vêtement ne déroge pas à la règle.

Aussi, on s’accordera un petit plaisir dans cette troisième et dernière rubrique en partageant avec vous une pièce extraordinaire, extravagante, originale, insolite, étonnante, spéciale, singulière… bref, vous m’avez compris !

La couverture ultime selon Euxane

Alors que je cherchais une belle couverture comme dessus de lit, je suis tombée par hasard sur celles de la marque Pendleton. J'aime beaucoup son histoire...

plaid pendleton

Toutes leurs couvertures en laine sont faites à la main et sont très robustes. Elles apportent toute de suite de la chaleur à une pièce.

Elle débute dans la ville d’Oregon où Thomas L. Kay, un anglais immigré aux États-Unis, rachète une usine de laine qui fabrique des couvertures pour les peuples amérindiens ?Les habitants d'Amérique avant la colonisation européenne..

Depuis plus de 150 ans, cette entreprise familiale est restée fidèle à ses racines.

On retrouve sur leurs créations les fameux motifs Navajos, qui sont à l'origine un peuple amérindien du sud-ouest des États-Unis ?Présent à cheval sur trois États : l'Arizona, le Nouveau-Mexique et l'Utah pour être exact..

Bref, plus qu'un simple morceau de tissu décoratif qui vous tiendra chaud, c'est un vrai objet chargé d'histoire. C'est ce qui me plaît ici.

Long et sa veste vintage bi-matières

Les pièces de Nigel Cabourn m'ont toujours fait rêver. Tous les mois, je regarde ce qu’il y a de nouveau sur leur e-shop et je suis tombé sur cette veste.

blouson nigel cabourn

Une petite beauté, pour la bagatelle de 675€.

C’est un mélange entre une veste denim classique et une veste militaire en laine utilisée par l’armée anglaise. Je trouve que l'alliage entre les deux matières fonctionne bien.

Je me vois bien porter cette pièce avec mon jean brut et mes Clarks.

Robin : du (très) haut de gamme japonais

Je remarque depuis un moment que Nicoló se promène souvent en sneakers montantes de chez National Standard. Elles sont blanc cassé / beige, avec des empiècements plus sombres (que j’aime moins).

Au début je l’enviais, d'autant plus qu’elles ne sont sont plus produites ?snif.

Mais en y réfléchissant bien, je me suis réconforté en me disant : “De toute façon, elles seraient encore mieux si elles étaient complètement beiges !”.

C’est alors que je suis tombé sur la collection de Hender Scheme, une marque japonaise de sneakers haut de gamme.

sneakers hender scheme homme

Vous comprenez pourquoi Robin est tombé amoureux...

Bien plus qu’une paire en “full beige”, Hender Scheme joue ici sur les textures avec trois types de cuirs différents (c’est un peu la triforce de la ferme : chèvre/porc/vache) qui présentent tous une teinte différente. Le must ? Ce sont les couleurs naturelles de chacun de ces cuirs ! Aucune teinture, rien.

Bref, elles valent bien un loyer.

Lucas le dur à cuir(e)

Lorsque Hedi Slimane est nommé directeur artistique de la maison Yves Saint Laurent en mars 2012, il annonce sa volonté de la faire entrer dans une nouvelle dimension.

Depuis, on y retrouve la "Motorcycle Jacket", indissociable du tournant rock amorcé par le créateur. Plus précisément, il s'agit d'un perfecto.

On le remarque à sa fermeture asymétrique, son col assez ample et son cintrage très ajusté typique de la période Hedi "Slim man". Cette pièce, par son design et sa coupe très ajustée à la taille, s'intègre aisément dans un plus grand nombre de tenues.

C'est la raison pour laquelle elle a désormais rejoint le rang de basique chez Saint Lau !

motorcycle jacket Saint Laurent

Attention, ce n'est pas une pièce qui vous protégera efficacement en cas de chute à moto...

Il s'agit d'une version luxe d'un grand symbole de rébellion. Même s'il renvoie à un imaginaire rempli de bikers tatoués, certains détails tempèrent cette vision et facilitent le port de cette merveille.

C'est le cas du fit de la taille, des bords-côtes ou encore du triple zip, original et visuellement intéressant.

3.000€ sur l'e-shop de Saint-Laurent.

Fabriqué en Italie, il s'agit d'un perfecto 100% pur cuir d'agneau, doté de poches obliques, avec une ceinture et des poignets en laine côtelée, le tout agrémenté d'une doublure en soie.

Je le porterais sans doute (dans mes rêves) sur un tee-shirt blanc avec un jean slim sombre et une paire de sneakers blanches.

Le mot de la fin...

Et vous, sur quoi avez-vous craqué dernièrement ? Quelles sont les pièces qui vous font baver ? Votre grain de folie à vous ? Racontez-nous tout dans les commentaires.

A très vite pour le troisième volet !

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