Undercover

Publié le: 7 février 2017Mis à jour le: 18 septembre 2017
Notre avis

La marque haut de gamme est chère.

L’intérêt est plus dans l’inspiration et la création que dans les belles matières et les coupes millimétrées.

La marque s’adresse surtout aux jeunes (dans leur corps ou dans leur tête), ceux qui écoutent Joy Division, ceux qui prennent le premier métro pour rentrer dormir après une soirée quand d’autres le prennent pour aller travailler.

Parler de rapport qualité-prix n’a pas d’intérêt ici : l’objectif c’est que la pièce te parle avant de l’acheter. On y trouve par exemple le « tee-shirt de groupie » version haut de gamme que tu oseras porter autre part que chez toi.

L’histoire de la marque Undercover

Le label japonais créé en 1990 par Jun Takahashi s’inspire des sous-cultures japonaises et occidentales : le punk en particulier mais aussi la pop culture au sens large (aussi bien dans le cinéma, la musique, que la télévision).

Undercover fait partie de cette mouvance « anti-mode japonaise » menée par Comme Des Garçons, où le vêtement est le symbole d’une culture, souvent contestataire ou marginale.

Jun Takahashi se renouvèle d’année en année tout en gardant l’essence de la marque.

Chaque saison peut être plus ou moins inspirée par un groupe, un film, une œuvre ou un courant artistique : on trouve des tee-shirts imprimés SITH et des citations de films floquées sur le dos des vestes, ou encore une doublure reprenant la couverture de l’album Love Will Tear Us Appart de Joy Division.

Tout ou presque est fabriqué au Japon avec le soin qu’on attend d’un label haut de gamme. Les coupes sont souvent très jeunes (jeans slim voire skinny) mais certaines pièces peuvent, par leur fit particulier ou leurs détails, sublimer des tenues plus classiques.

Nos looksEn relation

Laissez nous un commentaire

Questions de styles, points de vue perso, bons plans à partager ? Nous validons ton commentaire et te répondons en quelques heures